La Martinique est fière d'arriver en 16ème position des 52 destinations à visiter dans le Monde en 2023 selon le New York Times !
Un classement où la Martinique et son titre mondial de Réserve de Biosphère sont mis en avant par le grand quotidien New Yorkais aux 8 millions d’abonnés.
Nous profitons de cette distinction pour remercier la population d'avoir participé activement à l'attribution du titre de Réserve mondiale de Biosphère par l'UNESCO le 15 septembre 2021, contribuant ainsi à l'accroissement de l'attractivité de la Martinique à l'échelle planétaire.
RCI et l'Association ont initié une série d’émissions mensuelles consacrée à la mise en valeur du territoire à travers la Réserve de Biosphère.
Tous les troisièmes jeudis du mois, RCI s’installe dans une Mairie pour réaliser une émission en direct de 2h, sur les atouts naturels de la communes, ses atouts culturels, et les actions de développement durable qui y sont entreprises.
Le célèbre présentateur Rodrigue est systématiquement accompagné du Maire de la Commune et d’un représentant de l’Association. A leurs côtés se succèdent des invités pour échanger sur différents thèmes préétablis à partir des atouts de la commune, identifiés par les habitants lors de la phase de candidature.
Afin de mettre en œuvre le plan de gestion proposé par les 4500 participants aux réunions publiques de construction de la candidature du territoire, les membres du Comité de Gestion se sont répartis en 5 Commissions, selon les axes de travail du plan de gestion :
·Commission 1 : Préservation, protection et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles
·Commission 2 : Réappropriation de l’identité culturelle du territoire
·Commission 3 : Promotion d’activités engagées dans le développement soutenable : souveraineté alimentaire ; tourisme responsable ; énergies renouvelables et transports
·Commission 4 : Éducation à l’environnement : grand public et scolaire
Ces 5 commissions rassemblent les acteurs majeurs du territoire dans leurs domaines d’intervention. Ils apporteront leurs compétences pour travailler ensemble au sein de chaque commission et examineront les propositions d’actions formulées par la population.
Les réponses aux attentes des participants qui se sont engagés de façon active et fortement qualitative sont primordiales pour assurer l’avenir et la pérennité du titre mondial.
Les membres de chaque Commissions ont d’ores et déjà commencé à se réunir pour réaliser un état des lieux dans chaque axe concerné et la faisabilité des propositions, inscrites dans le plan de gestion.
La Commission 1 s’est rencontrée pour la première fois le 9 novembre 2022 et rassemblait 16 membres désignés par leurs organisations.
La Commission 2, composée de 13 acteurs, s’est réunit le 16 novembre 2022.
La Commission 3, qui a rassemblé 10 membres et la Commission 4, composés de 7 acteurs, se sont respectivement réunies les 23 novembre et 7 décembre 2022.
La Commission 5 est quant à elle programmée pour janvier 2023.
A l’échelle du monde, le Programme sur l’Homme et la Biosphère de l’UNESCO a choisi la Martinique, parmi 738 territoires Réserves de biosphère dans 134 pays pour être présente, à ses côtés à Montréal, du 07 au 19 décembre 2022.
C’est l’un des 18 membres fondateurs de l’Association Martinique Réserve de Biosphère, Coralie BALMY, qui a été nommée Ambassadrice de la Réserve de Biosphère de Martinique et invitée à participer à la 15ème session de la Conférence des Parties de la Convention sur la Diversité Biologique (COP15), à Montréal.
L’enjeu de la COP15 est de faire adopter par les États membres de la Convention un nouveau cadre mondial de gouvernance de la biodiversité, dit « Cadre mondial post-2020 pour la biodiversité », qui fixera les objectifs à atteindre pour ralentir l’érosion de la biodiversité : 4 objectifs stratégiques et 22 cibles sont en cours de négociation.
Les actions menées et les valeurs portées par Coralie illustrent à merveille les messages de réconciliation portés par l’UNESCO et son réseau mondial de Réserves de Biosphère :
·La réconciliation entre nature et culture : par son mandat interdisciplinaire, l’UNESCO et ses programmes, en particulier celui sur l’Homme et la Biosphère, permettent de renforcer le lien entre diversité biologique et culturelle. L’UNESCO estime qu’il est déterminant de lier la conservation de la biodiversité avec les systèmes sociaux, culturels et économiques, et de sauvegarder les pratiques sociales, les expressions culturelles, les langues et les systèmes de connaissances des communautés locales.
·La réconciliation entre terre et océan : le Réseau mondial de Réserves de Biosphère insulaires, côtières et marines comprend 235 territoires Réserves de Biosphère avec une population de plus de 140 millions d’habitants sur 2,4 millions de km2 de zones maritimes et côtières. Elles constituent des modèles de paysages terrestres et marins connectés : l’organisation par zones connectées des Réserves de Biosphère contribue à des systèmes écologiquement représentatifs et bien reliés d’aires ayant une importance particulière pour la biodiversité.
De plus l’UNESCO, tout comme la Réserve de Biosphère de Martinique, souhaite donner plus de retentissement aux voix des jeunes. La Réserve de Biosphère de Martinique vient d’accueillir le premier Forum des jeunes des Réserves de Biosphère de la Caraïbe, les 2 et 3 décembre 2022, auquel Coralie BALMY a participé.
A la COP15, Coralie aura l’opportunité de porter ses actions et ses valeurs auprès d’acteurs institutionnels, d’acteurs privés, d’ONG, de membres de la société civile, et notamment, celles qu’elle partage avec les jeunes caribéens. Elle leur communiquera aussi son expérience de membre fondateur de l’Association Martinique Réserve de Biosphère, afin d’inspirer d’autres jeunes à porter les valeurs du Programme sur l’Homme et la Biosphère auprès de leurs territoires.
Les 2 et 3 décembre derniers s’est tenu, en Martinique, le tout premier Forum des jeunes des Réserves de Biosphère de la Caraïbe.
Co-Organisé par la Réserve de Biosphère de Martinique, celle de l’Archipel de Guadeloupe et le Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère, l’événement a permis de réunir une trentaine de jeunes caribéens de 18 à 35 ans.
L’objectif ? Encourager la coopération caribéenne et la création de collectifs de jeunes engagés sur les questions socio-environnementales.
Un programme rythmé, studieux et participatif
Avant d’entamer officiellement le Forum, les jeunes ont été invités à découvrir la ville de Fort-de-France, à travers son street-art, avec l’association Milmurs. Des œuvres réalisées par des artistes locaux et internationaux, qui ouvrent la réflexion sur des questions culturelles et environnementales.
Le vendredi matin, ils ont été accueillis à l’Institut Catholique Européen des Amériques (ICEA), par son Directeur Pierre MONTLOUIS CALIXTE. Jean-Paul JOUANELLE, Vice-président de l’association Martinique Réserve mondiale de Biosphère, a ensuite pris la parole pour souhaiter la bienvenue à tous les participants, et tout particulièrement à trois jeunes ayant fait un long voyage : Cristina MOTA RODRIGUEZ pour la Réserve de Biosphère de Cozumel au Mexique, Nekaisha LEGERTON pour la Réserve de Biosphère du Nord Est de Tobago, et Indira HERNANDEZ FERRER pour celle de Bacanao à Cuba. Tous les jeunes caribéens attendus pour cet événement n’ont malheureusement pas eu la chance d’obtenir leur visa, notamment 4 jeunes de Cuba et 2 d’Haïti.
Le Président du Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère, Didier BABIN, a tenu à donner tous ses bons vœux de travail aux jeunes présents, lui-même en direct de la COP15 à Montréal. Philippe PYPAERT, Expert au Secrétariat du programme sur l’Homme et la Biosphère au siège de l’UNESCO à Paris, est également intervenu en visioconférence pour rappeler que la jeunesse est un groupe prioritaire pour l’UNESCO, qui reconnaît leur créativité, leur innovation et leur capacité à faire changer le monde. Enfin, nous avions l’honneur de la présence de Massimiliano LOMBARDO, Expert des Sciences naturelles au bureau de l’UNESCO Caraïbe basé à Kingston, Jamaïque, qui a été très présent tout au long de ce Forum.
Suite à l’ensemble de ces mots de bienvenue, en Martinique et au sein de la famille du Programme sur l’Homme et la Biosphère et son large réseau de Réserves de Biosphère, les participants ont fait connaissance et initié les ateliers de travail.
Les participants autour de l’Arbre à Palabres, un jeu sérieux développé par le Comité français sur l’Homme et la Biosphère, portant sur les relations entre nature et société, au travers des différentes représentations d’un arbre. Ici, le gommier blanc de Guadeloupe, au carrefour de nombreuses représentations (objet symbolique, de production, habitat, …).
Quatre groupes ont été formés, pour travailler sur une île fictive des Caraïbes, afin d’établir un état de lieux des problématiques territoriales puis d’identifier des solutions.
La matinée du samedi a été marquée par la découverte de la mangrove du Morne Cabri avec la mairie du Lamentin, qui a présenté son projet “Tous pour la biodiversité” pour la restauration de cet écosystème remarquable. S’en est suivi un “rali” qui a permis de resserrer les liens entre les participants et approfondir leurs connaissances sur la mangrove.
Puis, la dernière demi-journée fut celle de la concrétisation du diagnostic réalisé la veille, à travers la rédaction de quatre projets de coopération, issus de thématiques priorisées par les jeunes participants : éducation à l’environnement, promotion de l’identité culturelle, souveraineté alimentaire et tourisme soutenable.
Ces projets ont été présentés aux acteurs socio-économiques et environnementaux du territoire, et seront approfondis par la suite par les jeunes, leurs Réserves de Biosphère, le Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère et l’UNESCO Caraïbe.
Une promesse pour l’avenir
Rythmé par des visites culturelles et des ateliers participatifs, ce Forum a permis de mettre en lumière l’engagement des jeunes pour répondre à leurs enjeux communs, tout en posant le socle d’une collaboration inter-caribéenne au fort potentiel.
Le 15 septembre 2021, l’UNESCO a reconnu l’ensemble du territoire terrestre et marin de la Martinique, Réserve mondiale de Biosphère. Cette reconnaissance mondiale est due à tous ceux qui ont participé à la candidature de la Martinique et l’ont soutenue, et en particulier aux 4500 Martiniquais qui ont apporté leur contribution lors des réunions publiques tenues par l’Association dans les 34 communes du territoire. La qualité du travail et la participation active de la population à la procédure de candidature ont obtenu les félicitations de l’UNESCO.
Pour remercier chaque commune et sa population d’avoir porté collectivement cette ambition, construit ensemble cette candidature et obtenu sa réussite, une plaque de commémoration et de remerciements a été réalisée par l’Association ; ceci grâce au soutien de GBH, grand partenaire de l’Association.
Les poses de plaques ont déjà eu lieu:
– A la Mairie du Lamentin, le 08 octobre 2022
– A la Mairie du Diamant, le 20 octobre 2022
– A la Mairie de Saint-Pierre, le 27 novembre 2022
Elles se poursuivront successivement dans les autres communes durant l’année 2023, pour associer toutes les Mairies et tous les Martiniquais à ce titre.
Ce titre mondial prestigieux engage la Martinique à préserver et valoriser ses richesses naturelles et culturelles, dans une dynamique de développement soutenable. Il encourage l’éducation environnementale et la recherche scientifique sur le territoire.
L’ensemble des propositions des Martiniquais a permis de construire le plan de gestion de la Réserve de Biosphère, dont le Comité de Gestion, récemment formé, assurera le suivi. Ce plan est constitué de 5 axes de travail:
– Préservation et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles
– Réappropriation de l’identité culturelle du territoire
– Développement et valorisation d’activités engagées dans le développement soutenable : souveraineté alimentaire, tourisme, énergies renouvelables et transports collectifs
– Renforcement de l’éducation à l’environnement
– Appui à la recherche scientifique
La Martinique intègre désormais un réseau mondial de coopération de plus de 700 territoires Réserves de Biosphère dans 134 pays.
Le 15 septembre 2021, l’UNESCO a reconnu l’ensemble du territoire terrestre et marin de la Martinique, Réserve mondiale de Biosphère.
Ce titre mondial prestigieux est la résultante d’une ambition portée collectivement. Il engage la Martinique à préserver et valoriser ses atouts naturels et culturels, dans une dynamique de développement soutenable. Il encourage l’éducation environnementale et la recherche scientifique sur le territoire.
La Martinique intègre un réseau mondial de coopération de plus de 700 territoires Réserves de Biosphère dans 134 pays.
La gouvernance de ce titre est confiée à un Comité de Gestion, co-présidé par l’association Martinique Réserve mondiale de Biosphère et la Collectivité Territoriale de Martinique.
Mme Nathalie de POMPIGNAN, Présidente de l’Association, et M. David ZOBDA, Conseiller exécutif de la Collectivité Territoriale de Martinique, désigné par le Président du Conseil Exécutif, M. Serge LETCHIMY en sont les co-Présidents.
Le Comité de Gestion est assisté d’un Conseil scientifique et d’un Collège des gestionnaires des aires protégées. Il s’est réunit pour sa constitution le mardi 13 septembre 2022, de 09h00 à 12h30, à l’Hôtel de l’Assemblée de Martinique.
Rassemblant les acteurs territoriaux majeurs, il est chargé de mettre en œuvre le plan de gestion proposé par les 4500 participants aux réunions publiques de co-construction de la candidature du territoire.
Dans ce plan de gestion, 5 axes de travail ont été définis :
Préservation, protection et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles
Réappropriation de l’identité culturelle du territoire
Promotion d’activités engagées dans le développement soutenable : souveraineté alimentaire ; tourisme responsable ; énergies renouvelables et transports
Éducation à l’environnement : grand public et scolaire
Lors de cette première réunion du Comité de gestion, les Co-Président ont présenté le titre de Réserve de Biosphère à l’ensemble des acteurs présents. Puis les membres du Collèges des gestionnaires des aires protégées et du Conseil scientifique ont exposé leurs missions et actions.
Enfin, pour répondre aux attentes des habitants sur chacun des axes identifiés, des Commissions de travail se sont formées.
L’association Martinique Réserve mondiale de Biosphère a signé une convention de partenariat avec la Société Aéroport Martinique Aimé Césaire. En effet, ce dernier constitue l’une des principales « portes d’entrée » du territoire et est ainsi un outil essentiel de promotion et de valorisation de l’île.
Désormais, la désignation de l’ensemble du territoire martiniquais en qualité de Réserve de Biosphère est affichée au sein de l’aéroport, à la vue de tous les habitants et connue de l’ensemble des voyageurs arrivant par voie aérienne.
Côté mer, les touristes ne seront pas en reste, puisque le Grand Port Maritime de la Martinique, avec lequel une convention a également été signée, prépare aussi son affichage.
Suite à ses assemblées générales ordinaire et extraordinaire le 13 janvier dernier, l’association Martinique Réserve de Biosphère devient Martinique Réserve mondiale de Biosphère.
Son objet est le suivant :
« L’association a pour objet de mettre en place la gouvernance et la gestion de la Réserve Mondiale de Biosphère de Martinique. Elle est en charge de la co-animation de son Comité de gestion et des commissions de travail et de la coordination des activités de la Réserve Mondiale de Biosphère. Elle est l’interlocuteur des membres des réseaux de Réserve de Biosphère à l’échelle nationale, régionale et mondiale ».
Les membres du Conseil Administratif et du bureau ont été renouvelés pour deux années. La Présidente, Nathalie de POMPIGNAN, a été réélue pour ce mandat.
Quelles actions sont attendues pour 2022 ?
En parallèle de la mise en place effective de la gouvernance et du plan de gestion de la Réserve mondiale de Biosphère, deux projets majeurs vont voir le jour en 2022 : un forum des jeunes des Réserves de Biosphère de la Caraïbe, et un réseau d’acteurs engagés sur le territoire.
Un important acteur économique du territoire s’est d’ores et déjà engagé à nos côtés : le Crédit Agricole Martinique-Guyane, dans le cadre d’un partenariat dynamique et prometteur pour valoriser la Martinique :
« La démarche de ce titre mondial vise à valoriser l’ensemble de nos Patrimoines. Nous la soutenons depuis ses débuts, aux côtés d’autres entreprises de la Martinique. Ensuite, une telle démarche ressemble beaucoup à celles que nous pratiquons au Crédit Agricole avec nos Administratrices et Administrateurs. C’est une démarche basée sur la responsabilité, en proximité des Femmes et des Hommes du Territoire, qui veulent aller de l’avant et dépasser les tensions de la société ». Alex ROSETTE, Président du Crédit Agricole Martinique-Guyane
Après la reconnaissance de l’UNESCO attribuée à la Martinique, le 15 septembre 2021, il s’agit, désormais et pour les mois à venir, de mettre en place la gouvernance de la Réserve mondiale de Biosphère.
Le titre de Réserve mondiale de Biosphère engage en effet la Martinique, à l’échelle du monde, dans une démarche de développement soutenable et de préservation, de valorisation et de promotion de ses atouts naturels, culturels et de ses savoir-faire. Éducation à l’environnement et recherche scientifique sont également des domaines majeurs d’interventions.
Aussi, un Comité de gestion sera constitué, dont la présidence devrait être bicéphale :
Associative : Association Martinique Réserve de Biosphère
Institutionnelle : Collectivité Territoriale de Martinique
Il sera composé d’une trentaine de membres, désignés en fonction de leurs compétences dans le domaine des axes de travail proposés par les habitants et rassemblera les parties prenantes du territoire : acteurs territoriaux, publics, institutionnels, socio-économiques, associatifs, …
Son rôle sera de suivre la bonne exécution des propositions formulées par les habitants.
Le Comité de gestion sera assisté d’un conseil scientifique et d’un collège des gestionnaires des aires protégées, formé de représentants du Parc Naturel Marin, du Parc Naturel Régional et de l’Office National des Forêts.
De plus, cinq commissions seront établies afin de mettre en œuvre les recommandations exposées par les participants lors des 34 réunions publiques territoriales de co-construction de la candidature.
Elles réuniront chacune une dizaine de membres concernés par les thématiques correspondant aux 5 axes de travail mis en avant par la population. Les grandes lignes en sont les suivantes :
Préservation, protection, et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles : améliorer la qualité de l’eau, sécuriser la ressource en eau, préserver la biodiversité, restaurer les écosystèmes mentionnés (berge des rivières, mangroves).
Réappropriation de l’identité culturelle du territoire : valoriser la culture martiniquaise et développer les activités culturelles, transmettre les savoirs et savoir-faire traditionnels, mettre en avant les artistes locaux, valoriser les sites culturels et le patrimoine bâti.
Promotion d’activités engagées vers le développement soutenable : souveraineté alimentaire, tourisme responsable, énergie et transport.
Éducation à l’environnement : renforcer les interventions en milieu scolaire, renforcer les actions grand public, réduire déchets et rejets.
Recherche scientifique : appuyer les recherches sur le chlordécone, valoriser les algues sargasses, s’adapter au changement climatique, développer la coopération caribéenne.