Les Commissions de la Réserve de Biosphère au travail

Afin de mettre en œuvre le plan de gestion proposé par les 4500 participants aux réunions publiques de construction de la candidature du territoire, les membres du Comité de gestion de la Réserve de Biosphère se sont répartis en 5 Commissions.

 

Ces commissions se réunissent chaque trimestre et rassemblent les acteurs majeurs dans leurs domaines d’intervention. Ceux-ci apportent leurs compétences pour travailler ensemble au sein de chaque commission et examiner les propositions d’actions formulées par la population.

Les réponses aux attentes des participants qui se sont engagés de façon active et fortement qualitative sont primordiales pour assurer l’avenir et la pérennité du titre mondial attribué par l’UNESCO.

 

Les premières réunions ont permis d’initier un état des lieux et étudier la faisabilité des propositions et actions que les participants ont souhaité voir émerger. Elles permettent de préciser les actions en cours ou en projet, les freins rencontrés et la dynamique à mettre en œuvre afin d’amplifier et donner plus de visibilité à ces activités :

 

Commission 1 : Préservation, protection et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles (17 membres, réunion 1 : le 9 novembre 2022, réunion 2 : le 7 mars 2023)

 

Commission 2 : Réappropriation de l’identité culturelle du territoire (14 membres, réunion 1 : le 16 novembre 2022, réunion 2 : le 14 mars 2023)

 

Commission 3 : Promotion d’activités engagées dans le développement soutenable : souveraineté alimentaire ; tourisme responsable ; énergies renouvelables et transports (25 membres, réunion 1 : le 23 novembre 2022, réunion 2 : le 28 mars 2023)

 

Commission 4 : Éducation à l’environnement : grand public et scolaire (21 membres, réunion 1 : le 7 décembre 2022, réunion 2 : le 4 avril 2023)

 

Commission 5 : Recherche scientifique : sargasses, chlordécone, changements climatiques (21 membres dont 12 membres du Conseil Scientifique, réunion 1 : le 31 janvier 2023, réunion 2 : le 28 février)

 


Appropriation du titre mondial par la population et valorisation du logo de l’UNESCO

Afin de renforcer l’appropriation du titre de Réserve de Biosphère de l’UNESCO par la population, une campagne d’affichage numérique a été initiée.

 


L’objectif est de cibler la population au cœur des points de vente qu’elle fréquente au quotidien, au sein d’un réseau de supermarchés et de libres-services.

La campagne a débuté en mars, dans les communes d’implantation suivantes : le Vauclin, le François, Saint-Esprit, le Lamentin, Fort-de-France, Ducos, le Diamant, le Marin, Bellefontaine, Gros-Morne, la Trinité, Rivière-Salée et le Lorrain, pour une durée de 4 semaines :

 

Mars – du 20 au 27 mars

Avril – du 17 au 24 avril

Mai – du 22 au 29 mai

Juin – du 19 au 26 juin

 

Près de 100 000 personnes ont été ciblées la première semaine, pour un total de 155 heures de diffusion sur 31 écrans.

La Réserve de Biosphère était présente au Salon du Voyage et des Vacances, aux côtés du Comité Martiniquais du Tourisme

Du 10 au 12 mars a eu lieu le Salon du Voyage et des Vacances au Palais des Congrès de Madiana.

 

L’objectif était de mieux faire connaitre aux participants le titre de Réserve de Biosphère et son obtention en 2021, pour l’ensemble du territoire martiniquais terrestre et marin, désormais à préserver et valoriser collectivement.

 

Le tourisme responsable constitue également un axe majeur de la Commission 3 du plan de gestion dédié à la promotion des activités engagées dans le développement soutenable.


En période de haute saison touristique, il était donc important de sensibiliser la population aux enjeux de préservation des richesses naturelles et culturelles locales, démarche propre à toute Réserve de Biosphère, à laquelle s’associe en Martinique le Comité Martiniquais du Tourisme.


 

La Réserve de Biosphère est intervenue pour signaler un phénomène de pollution aquatique récurrent sur la zone de la Lézarde au Lamentin

Depuis plusieurs années, un canal de la zone de Lézarde au Lamentin est victime d’une pollution sauvage chronique.

 

Le réseau des canalisations de la zone constitue un véritable réceptacle à ciel ouvert de déversements de flux (eaux pluviales, eaux usées, rejets de toutes sortes). Certains déversements provoquent une pollution dont l’origine est non identifiée à ce jour. Les impacts sur l’environnement immédiat et les riverains représentent un préjudice majeur en raison de l’étendue et de l’aggravation du phénomène.

Malgré les actions menées pour alerter les autorités depuis 2021, aucune mesure n’a été prise pour sanctionner le(s) coupable(s) et faire cesser définitivement ces troubles.

 

La Réserve de Biosphère a souhaité signaler ce phénomène aux membres du Conseil Scientifique réunis le 28 février dernier, dont l’ONF et l’ODE.

 

En tant qu’atteinte grave portée à la fragilité des ressources aquatiques de l’île, et eu égard à l’attention portée sur la ressource en eau et la préservation de la biodiversité figurant dans le plan de gestion de la Réserve de Biosphère, ce dossier sera suivi et les riverains accompagnés jusqu’au rétablissement de la situation.

La deuxième réunion du Conseil Scientifique de la Réserve de Biosphère a eu lieu au siège de la CACEM, mardi 28 février

A la suite de la première réunion organisée par la Réserve de Biosphère le 30 août dernier, la Communauté d’agglomération du Centre de la Martinique accueillait les participants, avec l’ordre du jour suivant :

 

* Aménagement global des rivières Jambette, Monsieur, du Longvilliers et Canal Mamin.

* Sargasses : Point de situation et recherches en cours dans l’arc antillais et en Colombie, avec la participation du nouveau membre international du Conseil Scientifique, le Docteur June MOW-ROBINSON, de nationalité colombienne, chercheuse et consultante associée du groupe GITEC-IGIP, société de conseil de premier plan pour les projets d’aide au développement.

* Chlordécone : Point de situation sur le plan de communication à destination du grand public et état d’avancement de la recherche sur la décontamination des sols.

 

Nous tenons à remercier la CACEM pour la mise en place d’une visioconférence à grande échelle et Mme Célia DUPLAND d’avoir assuré la traduction anglais / français.

 

Ce Conseil Scientifique a été aussi l’occasion d’effectuer la deuxième réunion de la Commission 5 du plan de gestion, consacrée à la recherche scientifique, les thèmes du  Chlordécone et des Sargasses figurant parmi les sujets que la population a souhaité approfondir.

 

Le Conseil Scientifique a un rôle d’orientation et de consultation sur les trois thématiques de recherche définies dans le plan de gestion : appuyer les recherches sur le chlordécone, sur les algues sargasses, s’adapter aux effets du changement climatique en développant l’information et la sensibilisation auprès de la population et en renforçant la coopération caribéenne entre acteurs du monde de la recherche.

 

 

Des rencontres destinées à valoriser la Martinique, fédérer les synergies et développer des actions communes

M. Yves NORMAND, Maire de La Trinité-sur-Mer, M. Thibault DERVILLE et M. Jean-Philippe CAU, Fondateurs de la CAP Martinique, compétition pour laquelle chaque bateau doit porter les couleurs d’une cause de développement durable ou de développement sociétal. Cette course partira de la Trinité-sur-Mer en avril 2024 et devrait arriver en Martinique vers le 5 mai.
> Stratégie de communication au départ de la Trinité-sur-Mer et à l’arrivée à Fort-de-France ; développement de partenariats voiliers / associations martiniquaises.

Mme Nadine BERGOZ, Cheffe de cabinet de M. Jean-Rémy VILLAGEOIS, Président du directoire du Grand Port Maritime de Martinique (GPMM).
> Affichage du logo de l’UNESCO et de visuels des atouts naturels et culturels de la Martinique lors des manifestations du GPMM et dans les 3 espaces passagers croisières – Baie des Tourelles, Pointe Simon, Terminal inter-îles.

Mme Aude BRADOR, Directrice du Parc Naturel Marin de Martinique.
> Affichage du logo de l’UNESCO et développement de la collaboration : communication mutuelle, renforcement de la coopération caribéenne, actions communes de sensibilisation à l’environnement marin.

M. le Préfet, Jean-Christophe BOUVIER, en compagnie de Mme Monique LOWINSKY, Secrétaire Générale Adjointe, M. Christophe POMEZ, Directeur de la DAC et M. Jean-Michel MAURIN, Directeur de la DEAL.
> Affichage du logo de l’UNESCO et renforcement de la participation des services de l’État aux Commissions de la Réserve de Biosphère
 
M. Ronald BRITHMER, Directeur du Parc Naturel Régional de Martinique

> Développement de la collaboration : convention de partenariat, communication mutuelle, actions communes de sensibilisation à l’environnement.



Grâce à son titre de Réserve de Biosphère, la Martinique intègre le classement du New York Times des destinations à visiter en 2023 !

La Martinique est fière d'arriver en 16ème position des 52 destinations à visiter dans le Monde en 2023 selon le New York Times !

Un classement où la Martinique et son titre mondial de Réserve de Biosphère sont mis en avant par le grand quotidien New Yorkais aux 8 millions d’abonnés.

Nous profitons de cette distinction pour remercier la population d'avoir participé activement à l'attribution du titre de Réserve mondiale de Biosphère par l'UNESCO le 15 septembre 2021, contribuant ainsi à l'accroissement de l'attractivité de la Martinique à l'échelle planétaire.

La Martinique, Réserve mondiale de Biosphère, a été choisie par l’UNESCO pour être présente à ses côtés à la COP 15 à Montréal

 A l’échelle du monde, le Programme sur l’Homme et la Biosphère de l’UNESCO a choisi la Martinique, parmi 738 territoires Réserves de biosphère dans 134 pays pour être présente, à ses côtés à Montréal, du 07 au 19 décembre 2022.

C’est l’un des 18 membres fondateurs de l’Association Martinique Réserve de Biosphère, Coralie BALMY, qui a été nommée Ambassadrice de la Réserve de Biosphère de Martinique et invitée à participer à la 15ème session de la Conférence des Parties de la Convention sur la Diversité Biologique (COP15), à Montréal.

L’enjeu de la COP15 est de faire adopter par les États membres de la Convention un nouveau cadre mondial de gouvernance de la biodiversité, dit « Cadre mondial post-2020 pour la biodiversité », qui fixera les objectifs à atteindre pour ralentir l’érosion de la biodiversité : 4 objectifs stratégiques et 22 cibles sont en cours de négociation.

Les actions menées et les valeurs portées par Coralie illustrent à merveille les messages de réconciliation portés par l’UNESCO et son réseau mondial de Réserves de Biosphère :

·      La réconciliation entre nature et culture : par son mandat interdisciplinaire, l’UNESCO et ses programmes, en particulier celui sur l’Homme et la Biosphère, permettent de renforcer le lien entre diversité biologique et culturelle. L’UNESCO estime qu’il est déterminant de lier la conservation de la biodiversité avec les systèmes sociaux, culturels et économiques, et de sauvegarder les pratiques sociales, les expressions culturelles, les langues et les systèmes de connaissances des communautés locales. 

·      La réconciliation entre terre et océan : le Réseau mondial de Réserves de Biosphère insulaires, côtières et marines comprend 235 territoires Réserves de Biosphère avec une population de plus de 140 millions d’habitants sur 2,4 millions de km2 de zones maritimes et côtières. Elles constituent des modèles de paysages terrestres et marins connectés : l’organisation par zones connectées des Réserves de Biosphère contribue à des systèmes écologiquement représentatifs et bien reliés d’aires ayant une importance particulière pour la biodiversité.

De plus l’UNESCO, tout comme la Réserve de Biosphère de Martinique, souhaite donner plus de retentissement aux voix des jeunes. La Réserve de Biosphère de Martinique vient d’accueillir le premier Forum des jeunes des Réserves de Biosphère de la Caraïbe, les 2 et 3 décembre 2022, auquel Coralie BALMY a participé.

 A la COP15, Coralie aura l’opportunité de porter ses actions et ses valeurs auprès d’acteurs institutionnels, d’acteurs privés, d’ONG, de membres de la société civile, et notamment, celles qu’elle partage avec les jeunes caribéens. Elle leur communiquera aussi son expérience de membre fondateur de l’Association Martinique Réserve de Biosphère, afin d’inspirer d’autres jeunes à porter les valeurs du Programme sur l’Homme et la Biosphère auprès de leurs territoires.

La Réserve mondiale de Biosphère héberge le premier Forum des jeunes de la Caraïbe

Les 2 et 3 décembre derniers s’est tenu, en Martinique, le tout premier Forum des jeunes des Réserves de Biosphère de la Caraïbe.

Co-Organisé par la Réserve de Biosphère de Martinique, celle de l’Archipel de Guadeloupe et le Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère, l’événement a permis de réunir une trentaine de jeunes caribéens de 18 à 35 ans.

L’objectif ? Encourager la coopération caribéenne et la création de collectifs de jeunes engagés sur les questions socio-environnementales.

Un programme rythmé, studieux et participatif

Avant d’entamer officiellement le Forum, les jeunes ont été invités à découvrir la ville de Fort-de-France, à travers son street-art, avec l’association Milmurs. Des œuvres réalisées par des artistes locaux et internationaux, qui ouvrent la réflexion sur des questions culturelles et environnementales.

Le vendredi matin, ils ont été accueillis à l’Institut Catholique Européen des Amériques (ICEA), par son Directeur Pierre MONTLOUIS CALIXTE. Jean-Paul JOUANELLE, Vice-président de l’association Martinique Réserve mondiale de Biosphère, a ensuite pris la parole pour souhaiter la bienvenue à tous les participants, et tout particulièrement à trois jeunes ayant fait un long voyage : Cristina MOTA RODRIGUEZ pour la Réserve de Biosphère de Cozumel au Mexique, Nekaisha LEGERTON pour la Réserve de Biosphère du Nord Est de Tobago, et Indira HERNANDEZ FERRER pour celle de Bacanao à Cuba. Tous les jeunes caribéens attendus pour cet événement n’ont malheureusement pas eu la chance d’obtenir leur visa, notamment 4 jeunes de Cuba et 2 d’Haïti.

 

Le Président du Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère, Didier BABIN, a tenu à donner tous ses bons vœux de travail aux jeunes présents, lui-même en direct de la COP15 à Montréal. Philippe PYPAERT, Expert au Secrétariat du programme sur l’Homme et la Biosphère au siège de l’UNESCO à Paris, est également intervenu en visioconférence pour rappeler que la jeunesse est un groupe prioritaire pour l’UNESCO, qui reconnaît leur créativité, leur innovation et leur capacité à faire changer le monde. Enfin, nous avions l’honneur de la présence de Massimiliano LOMBARDO, Expert des Sciences naturelles au bureau de l’UNESCO Caraïbe basé à Kingston, Jamaïque, qui a été très présent tout au long de ce Forum.

Suite à l’ensemble de ces mots de bienvenue, en Martinique et au sein de la famille du Programme sur l’Homme et la Biosphère et son large réseau de Réserves de Biosphère, les participants ont fait connaissance et initié les ateliers de travail.

Les participants autour de l’Arbre à Palabres, un jeu sérieux développé par le Comité français sur l’Homme et la Biosphère, portant sur les relations entre nature et société, au travers des différentes représentations d’un arbre. Ici, le gommier blanc de Guadeloupe, au carrefour de nombreuses représentations (objet symbolique, de production, habitat, …).

Quatre groupes ont été formés, pour travailler sur une île fictive des Caraïbes, afin d’établir un état de lieux des problématiques territoriales puis d’identifier des solutions.
La matinée du samedi a été marquée par la découverte de la mangrove du Morne Cabri avec la mairie du Lamentin, qui a présenté son projet “Tous pour la biodiversité” pour la restauration de cet écosystème remarquable. S’en est suivi un “rali” qui a permis de resserrer les liens entre les participants et approfondir leurs connaissances sur la mangrove.
 
Puis, la dernière demi-journée fut celle de la concrétisation du diagnostic réalisé la veille, à travers la rédaction de quatre projets de coopération, issus de thématiques priorisées par les jeunes participants : éducation à l’environnement, promotion de l’identité culturelle, souveraineté alimentaire et tourisme soutenable.
 
Ces projets ont été présentés aux acteurs socio-économiques et environnementaux du territoire, et seront approfondis par la suite par les jeunes, leurs Réserves de Biosphère, le Comité français du programme sur l’Homme et la Biosphère et l’UNESCO Caraïbe.
 
Une promesse pour l’avenir
 
Rythmé par des visites culturelles et des ateliers participatifs, ce Forum a permis de mettre en lumière l’engagement des jeunes pour répondre à leurs enjeux communs, tout en posant le socle d’une collaboration inter-caribéenne au fort potentiel.

La Martinique, Réserve de Biosphère, met en place sa gouvernance

Le 15 septembre 2021, l’UNESCO a reconnu l’ensemble du territoire terrestre et marin de la Martinique, Réserve mondiale de Biosphère.  

Ce titre mondial prestigieux est la résultante d’une ambition portée collectivement. Il engage la Martinique à préserver et valoriser ses atouts naturels et culturels, dans une dynamique de développement soutenable. Il encourage l’éducation environnementale et la recherche scientifique sur le territoire.

La Martinique intègre un réseau mondial de coopération de plus de 700 territoires Réserves de Biosphère dans 134 pays.

La gouvernance de ce titre est confiée à un Comité de Gestion, co-présidé par l’association Martinique Réserve mondiale de Biosphère et la Collectivité Territoriale de Martinique.

Mme Nathalie de POMPIGNAN, Présidente de l’Association, et M. David ZOBDA, Conseiller exécutif de la Collectivité Territoriale de Martinique, désigné par le Président du Conseil Exécutif, M. Serge LETCHIMY en sont les co-Présidents.

Le Comité de Gestion est assisté d’un Conseil scientifique et d’un Collège des gestionnaires des aires protégées. Il s’est réunit pour sa constitution le mardi 13 septembre 2022, de 09h00 à 12h30, à l’Hôtel de l’Assemblée de Martinique.

Rassemblant les acteurs territoriaux majeurs, il est chargé de mettre en œuvre le plan de gestion proposé par les 4500 participants aux réunions publiques de co-construction de la candidature du territoire.

Dans ce plan de gestion, 5 axes de travail ont été définis :

  • Préservation, protection et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles
  • Réappropriation de l’identité culturelle du territoire
  • Promotion d’activités engagées dans le développement soutenable : souveraineté alimentaire ; tourisme responsable ; énergies renouvelables et transports
  • Éducation à l’environnement : grand public et scolaire
  • Recherche scientifique : sargasses, chlordécone, changements climatiques

Lors de cette première réunion du Comité de gestion, les Co-Président ont présenté le titre de Réserve de Biosphère à l’ensemble des acteurs présents. Puis les membres du Collèges des gestionnaires des aires protégées et du Conseil scientifique ont exposé leurs missions et actions.

Enfin, pour répondre aux attentes des habitants sur chacun des axes identifiés, des Commissions de travail se sont formées.